Bonjour à tous !
Bienvenue dans l’univers de Blanche Artémis !
Qui est Blanche Artémis ? Et bien c’est moi, Marjolaine, bientôt 37 ans, et médium de naissance.
Suite à 2 burn out, j’ai enfin compris que le travail en société classique ne me convenait pas. Donc après la dépression et la mise en question, vient la mise en lumière : je me suis décidée à me lancée dans entrepreneuriat ! Ok, c’est bien, mais quoi faire ? J’ai exploré plusieurs pistes.
Après plusieurs années en tant qu’assistante de gestion puis responsable administratif, j’ai pensé devenir assistante de direction freelance. Oui, mais la pression des autres, je ne gère pas à cause de mon hypersensibilité et de mon empathie.
Alors redevenir prof particulier ? C’était mon job d’étudiante et plus (je l’ai été par intermittance pendant 7 ans). J’adore faire découvrir de nouvelles choses à des jeunes. J’adore guider les enfants vers la voie de la connaissance. Mais respecter les programmes scolaires… ça a tendance à me taper sur les nerfs !
Bon, quelles sont mes autres qualités ? Je fouille, je trifouille… Mon hypersensibilité est mon principal handicap dans la vie active « normale ». Et si je transformais cette particularité en qualité principale ? Depuis toute petite « je vois des gens qui sont morts », je tire les cartes (je viens d’une famille de cartomanciennes de génération de femmes en génération), je « voyage » au son des tambours… Donc je me crée un profil de médium sur Instagram. Le nom ? Blanche (mon nom de sorcière) Artémis (ma déesse tutélaire) Médium (parce que c’est moins restreignant que voyante).
Puis je tombe sur Sandrine Muller-Bohard sur YouTube. C’est une guérisseuse chamane. J’aime ses vidéos et je m’y reconnais. Lorsqu’elle propose fin 2019 d’initier à ses soins des personnes motivées, je ne réfléchis pas et m’inscris. Après tout, j’ai toujours eu du magnétisme et la chaleur dans mes mains est devenue incontrôlable, donc autant apprendre à l’utiliser à bon escient. Je me rends donc au premier atelier avec juste l’intention d’apprendre à me canaliser, pour mon développement personnel en quelque sorte. Et là, tout est fluide. Ce qu’elle montre, ça me paraît tellement naturel ! Ce qu’elle explique, c’est logique, pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ? Mes ressentis se confirment, ma vision des choses également. Je vais au deuxième atelier avec l’intention d’ouvrir mon cabinet. Si c’est si facile pour moi, c’est que c’est fait pour moi, non ? Pourquoi vouloir faire un métier où je dois m’adapter durement alors qu’il existe une filière où tout paraît simple ?
L’idée du cabinet est lancée. On est début 2020. Je commence à monter mon dossier auprès d’associations d’aide aux entrepreneurs. La Covid-19 passe par là : ok, on ouvrira pas en juin, mais en septembre, 3 mois ce n’est pas si long que ça à attendre !