Logo Blanche Artémis, énergéticienne à Arpajon dans l'Essonne

À propos

Bienvenue dans l’univers de Blanche Artémis !

Qui est Blanche Artémis ? Et bien c’est moi, Marjolaine, médium de naissance et énergéticienne de formation. Une sensibilité à fleur de peau qui a toujours été présente et qui a été préservée par un entourage compréhensif.

Mon hypersensibilité est mon principal handicap dans la vie active “normale”. Et si je transformais cette particularité en qualité principale ? Depuis toute petite “je vois des gens qui sont morts”, je tire les cartes (je viens d’une famille de cartomanciennes de génération en génération), je “voyage” au son des tambours… Je décide de me créer un profil sur Instagram. Le nom ? Blanche, mon nom de sorcière, suivi d’Artémis, ma déesse tutélaire. Le nom de ma marque était né !

Qu’est-ce qu’un médium ? Je vous livre ma définition.

En latin, medium signifie moyen. Donc un médium est un moyen de communication.

Les plus connus sont les médiums spirites, ceux qui communiquent avec les défunts, mais tous les médiums ne sont pas spirites ; certains communiquent avec les anges ou d’autres entités.

De même, il existe de nombreuses différences pour capter ces communications. On parle ainsi de clairvoyance (par la vue), de clairaudience (par l’ouïe), de kinesthésie (par le toucher), de télépathie, etc.

Chez moi, cela se manifeste de différentes façons : je peux voir, parfois entendre et surtout je ressens physiquement ce qu’on essaie de me transmettre, ce qui peut être difficile à transcrire par les mots, même si j’essaie toujours de trouver l’expression la plus juste à transmettre.

Personnellement, je ne pratique pas le spiritisme, je considère qu’il faut laisser les défunts faire ce qu’ils ont à faire (la réincarnation faisant partie de mes croyances profondes, j’ai tendance à penser qu’ils sont occupés ailleurs), mais je les accueille avec plaisir lorsqu’ils viennent me rendre visite. Je ne proposerai donc jamais de spiritisme dans mes prestations. Je préfère travailler avec d’autres entités comme vos guides spirituels. Étant pratiquante en chamanisme, je travaille très bien avec les animaux pouvoir (ou animaux totem) par exemple.

Mon parcours d’énergéticienne

Concernant ma formation aux soins énergétiques, je tombe un jour sur Sandrine Muller-Bohard sur YouTube. C’est une guérisseuse chamane. J’aime ses vidéos et je m’y reconnais. Lorsqu’elle propose fin 2019 d’initier à ses soins des personnes motivées, je ne réfléchis pas et m’inscris. Après tout, j’ai toujours eu du magnétisme et la chaleur dans mes mains est devenue incontrôlable, donc autant apprendre à l’utiliser à bon escient. Je me rends donc au premier atelier avec juste l’intention d’apprendre à me canaliser, pour mon développement personnel en quelque sorte. Et là, tout est fluide. Ce qu’elle montre, ça me paraît tellement naturel ! Ce qu’elle explique, c’est logique, pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ? Mes ressentis se confirment, ma vision des choses également.

Pour l’anecdote, je suis atteinte d’endométriose. Le jour de la formation, c’était mon premier jour de règles. Je n’ai pas pris d’anti-douleurs pour pouvoir me concentrer et ne pas être dans les choux. On passe en binôme pour apprendre les gestes. Je demande à passer en premier à cause de mes douleurs. L’effet ne se fait pas ressentir de suite, donc je serre les dents pendant le reste de l’atelier et me précipite sur ma codéine en rentrant le soir-même. Le lendemain, je vais mieux. Et je n’ai pas eu une seule douleur le reste de la semaine. C’était la première fois de ma vie que j’ai eu des règles non douloureuses. Je suis scotchée par la puissance du soin que je viens d’apprendre et de tester !

Je vais au deuxième atelier avec l’intention d’ouvrir mon cabinet. Si c’est si facile pour moi, et qu’en plus les résultats sont extraordinaires sur moi, c’est que c’est fait pour moi, non ? Pourquoi vouloir faire un métier où je dois m’adapter durement alors qu’il existe une filière où tout paraît simple ? On est début 2020. Le temps de monter les dossiers administratifs, la Covid-19 passe par là. Le cabinet ouvre finalement ses portes le 1er décembre 2020 à Arpajon.

Depuis, j’ai continué à me former, entre autres auprès de Sandrine Muller-Bohard chez qui je suis référencée car j’ai validé l’entièreté de son enseignement en octobre 2022. J’ai également approfondi mes connaissances en radiesthésie auprès d’Athénaïs Magnétisme. Depuis septembre 2020, je suis aussi régulièrement les formations, les masterclass et les ateliers de Julia Boschiero en Lithosophie afin de vous faire profiter des énergies des pierres de la façon la plus juste possible.

Une thérapeute atypique ? Et bien oui !

Je suis également HPI et récemment diagnostiquée TSA. Ces acronymes vous sont inconnus ? Ils désignent tous les deux des neuroatypies.

Le HPI est le plus connu : on appelle souvent les HPI des “surdoués” or, en réalité, il s’agit juste d’une façon différente de penser dont les résultats sont plus rapides que la majorité, ainsi qu’une meilleure gestion de l’information/de la mémoire, d’où cette fausse impression de supériorité intellectuelle (accentuée par les tests de QI qui chiffrent ces résultats).

Le TSA, ou trouble du spectre autistique, quant à lui, désigne des difficultés à appréhender les normes sociales ; le plus souvent, ce sont les implicites et le non-verbal qui ne sont pas gérés. Il y a autant d’autismes que de personnes autistes.

Ce diagnostic, tombé en 2020, explique enfin ma façon d’être, pourquoi j’ai subi 2 burn out, mon hypersensibilité tellement envahissante parfois et qui me fait me sentir en décalage en permanence, chose que j’ai longtemps mis sur le compte de ma médiumnité.

Mon prochain défi ? Accompagner les personnes atypiques qui se sentent perdus dans cette société tellement violente pour les gens comme nous. Si je peux permettre ne serait-ce qu’à une personne de ne plus souffrir comme j’ai pu souffrir, alors mon but sera atteint.

Mon projet est de créer des parcours d’accompagnement au diagnostic, avec une aide pour toutes les démarches que cela demande (recherche de spécialistes, dossier MDPH, etc.).